Les unités spécialisées

Le Groupe d'Intervention Feux de Forêt

La constitution de G.I.F.F (Groupe d'Intervention Feux de Forêt) constitue un facteur d'efficacité en matière de feux de forêts. Pendant la phase de lutte, le G.I.F.F est une entité indissociable.

LES MOYENS D'INTERVENTION

Un GIFF est constitué de :

  • 1 VLHR, véhicule de reconnaissance et de commandement du chef de groupe auquel est adjoint un conducteur COD2 (au tant que faire ce peut)
  • 3 engins d'attaque de type CCF 2000 ou 4000 (CCFM)
  • 1 engin d'appui du type CCGC, VPCE, etc.

Les GIFF demandés en renfort sont constitués au point de transit avant d'être engagés.

Dès que le GIFF est constitué au point de transit, il prend pour indicatif : GIFF + N°, le numéro étant affecté dans l’ordre chronologique de constitution des GIFF.

Des moyens complémentaires peuvent être engagés notamment après une sectorisation fonctionnelle :

  • Groupe alimentation
  • Groupe logistique
  • Groupe commandement
  • Soutien sanitaire, etc.


Capture decran 2012-09-05 a 16.22.55QUALIFICATION DES PERSONNELS

Cinq emplois ont été définis dans le domaine feux de forêts
- FDF1    Equipier
- FDF2    Chef d'agrès
- FDF3    Chef de groupe
- FDF4    Chef de colonne
- FDF5    Chef de site

A partir du niveau FDF3, le "feu de forêt" est une spécialité faisant l'objet d'une liste opérationnelle biannuelle prise par arrêté préfectoral.


PRINCIPES GENERAUX POUR L'ENGAGEMENT DES MOYENS

En fonction de la situation météorologique, deux niveaux de risques sont retenus par le CODIS :

  • Peu de risque à risque faible (indice vert ou jaune)
  • Risque modéré à extrême (indice orange, rouge ou noir).


Suivant le niveau de risques défini pour la journée, deux départs types sont établis :

- Niveau 1 (vert ou jaune)
Déclencher en 1er départ : 1 CCF

- Niveau 2 (orange, rouge ou noir)
Déclencher en 1er départ : 1 GIFF.

Nota :

En fonction des éléments recueillis par le CTA, un GIFF peut être directement engagé, notamment sur les secteurs classés en risque particulier

En situation de sécheresse exceptionnelle, un dispositif préventif pourra être pré-positionné sur les secteurs classés en zone sensible après avis du chef de Corps départemental.

Le déclenchement des renforts demandés par le COS se fait en appliquant la fiche réflexe FDF CODIS (Annexe n° 3 ).

Ces renforts sont systématiquement constitués d'un GIFF tant que le feu n'est pas maîtrisé.


ORGANISATION DES SECOURS

LE CODIS

Prévision/anticipation

En cas de risque fort à extrême (rouge ou noir)

1.    INFORMER

  • Le DDSIS,
  • Le chef de site de garde départementale;
  • Les Chefs de Colonne des groupements,
  • Le médecin de soutien sanitaire d’astreinte
  • Le cadre d’astreinte du SIDPC
  • La Base hélicoptère de la Sécurité Civile,
  • Les Centres d’incendie et de Secours par la messagerie, en leur précisant : Info risque fort ;
  • Rappel des consignes : EPI, Logistique du CCF isolé et point de transit.

Nota :    si le secteur concerné par le classement du risque est limité, adapter la diffusion de l’information à la zone concernée.

2.    AMENAGER LE CODIS

Cartographie des moyens du 29 et des zones limitrophes des départements voisins ;
Préparer des tableaux  « gestion des  chantiers »,

3.    VERIFIER

Les Infos  concernant les moyens (disponibilité, armement).
La disponibilité des FDF3, FDF4, FDF5 et des Dragon à H+24 voire H +48 à 72.
L’IFM et l’évolution Météo (vent/marée/température)

Opération

Déclenchement des moyens :

  • Appliquer la fiche réflexe : départ FDF du  CODIS
  • Attention si le chantier est à l’EST du département penser aux renforts du 22 et du 56
  • Attention si le chantier est sur la Presqu’île penser aux marins-pompiers (idem Landivisiau) 

 

Risque

 

Faire partir

 

Prévenir

 

Anticipation

peu de risque à risque faible

(indice vert ou jaune)

 

1 CCF

 

COG

 

Risque modéré à extrême

(indice orange, rouge ou noir)

1 GIFF :

1 VLHR avec conducteur (cod2 autant que faire se peut)

3 CCF

1 CCGC ou VPCE

COG

Officier CODIS

Chef de colonne

Préparer un 2ème GIFF

Prévoir un point de transit


LE COS - COMMANDANT DES OPERATIONS DE SECOURS

Le Commandement des Opérations de Secours s’organise hiérarchiquement selon 4 niveaux, constituant la chaîne de commandement (voir règlement opérationnel).

- Chef de site
- Chef de colonne
- Chef de groupe
- Chef d’agrès

En l’absence d’un cadre appartenant à la chaîne de commandement sur les lieux d’une intervention, le Commandement des opérations de secours appartient au sapeur pompier le plus ancien dans le grade le plus élevé.

Principes de montée en puissance du commandement

  • Engagement d’un CCF : le COS est le chef d’agrès du CCF isolé.
  • Engagement de renfort en complément du 1er CCF : le COS est le chef d’agrès du CCF isolé, jusqu’à l’arrivée du Chef de groupe.
  • Engagement d’un premier GIFF : le COS est le chef de groupe de garde sur le secteur opérationnel. Une VLHR est engagée avec conducteur pour mise à disposition de ce dernier.
  • Engagement de renforts : chaque GIFF est commandé (au tant que faire ce peut) par un chef de groupe FDF3 jusqu’à « FEU MAITRISE ».
  • Le chef de colonne est engagé dès que deux groupes de renforts ont été demandés.

Dénomination du COS

Le COS prend pour indicatif :
- COS + nom de la commune, point de départ du feu.
Exemple :
COS pour un feu de landes sur le Ménez-Hom, commune de Dinéault = COS Dinéault.

Cet indicatif sera conservé jusqu'à l'extinction complète des derniers foyers, même si le feu a parcouru plusieurs communes.


LE CHEF DE GROUPE

Le chef de groupe en feu de forêt est l'officier titulaire du FDF3.

Dès l'engagement d'un GIFF en renfort, celui-ci doit être commandé (au tant que faire ce peut) par un titulaire du FDF3 inscrit sur la liste opérationnelle.

Une VLHR supplémentaire est engagée avec un conducteur pour mise à disposition de ce dernier.

Le chef de groupe prend l’indicatif « chef du GIFF n° X  engagé sur »,

-    le numéro est affecté dans l’ordre chronologique de constitution des GIFF
-    Le secteur d’engagement du GIFF (flanc gauche, flanc droit ou tête du feu, etc.) est précisé dans l’indicatif .Ce secteur peut être géographique ou fonctionnel.

Exemple :

Le chef de groupe du 3ème GIFF constitué au point de transit, et engagé sur le flanc droit,  prend l’indicatif : « chef du GIFF3 engagé sur le flanc droit »


Certaines missions peuvent être réalisées par des chefs de groupes non titulaires du FDF3 :

  • gestion point de transit
  • gestion de la permanence de l’eau
  • officier moyens ou renseignements du P.C.C
  • surveillance ou traitement des lisières après feu maîtrisé.

LE CHEF DE COLONNE

Le chef de colonne engagé est l'officier d'astreinte du groupement concerné. Si celui-ci n'est pas titulaire du FDF4, le CODIS lui propose un cadre de niveau FDF4 en qualité de conseiller.

Le chef de colonne est engagé dès que deux groupes de renforts ont été demandés.

Une VLHR supplémentaire est engagée avec conducteur pour mise à disposition de ce dernier

Sauf ordre contraire du chef de colonne, le CODIS engage un P.C.C (PC de colonne) dès que 3 GIFF ont été déclenchés.


LE CHEF DE SITE

Dès l'engagement du chef de colonne, le chef de site est régulièrement informé de l'évolution de l'opération.

Si le chef de site s’engage le CODIS prévoit une VLHR supplémentaire avec un conducteur.

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Le Sauvetage Aquatique

Le Service Départemental d'Incendie et de Secours du Finistère est doté de personnels formés et de matériels adaptés pour intervenir dans le cadre des risques courants dans le domaine du sauvetage aquatique conformément au Schéma Départemental d'Analyse et de Couverture des Risques.

La spécialité sauveteur aquatique permet d'intervenir en matière de secours dans le domaine maritime sur lequel s'exerce la responsabilité des maires (frange côtière des 300 mètres) ainsi que pour les opérations de sauvetage en eaux intérieures afin d'apporter dans ce cadre une réponse rapide aux demandes de secours pour risque de noyade.

Dans le cadre de la responsabilité du préfet maritime, le SDIS 29 met à disposition ses moyens nautiques sur demande des Centres Régionaux Opérationnels de Surveillance et de Sauvetage.

SAVEmplois opérationnels

Le nageur sauveteur aquatique

Il réalise des sauvetages de personnes en difficulté en surface, en eaux intérieures.
Il peut être amené à intervenir en eaux vives ou lors d'inondations


Le nageur sauveteur côtier

Il est équipier à bord d'une embarcation.

Ses activités principales sont :

  • Les missions dévolues au nageur sauveteur aquatique,
  • Sauvetages de personnes en difficulté en surface de mer.

L'emploi de nageur sauveteur côtier peut amener les personnels titulaires de la carte mer ou du permis côtier à conduire une embarcation.


Le chef de bord sauveteur côtier

Il est responsable à bord d'une embarcation. A ce titre il est garant de la faisabilité de la mission et de la sécurité des personnels embarqués.

Ses activités principales sont :

  • La conduite et la coordination des interventions de surface,
  • Le pilotage de l'embarcation lors des opérations de secours en eaux intérieures ou en mer,
  • Le conseil technique du Commandant des Opérations de Secours.


Composition de l'équipe SAV

Dans le cadre d'un secours en eaux intérieures, l'équipe est constituée de 2 nageurs sauveteurs aquatiques (SAV1). Cette équipe intervient sous la responsabilité de son chef d'agrès.

Elle est intégrée dans l'effectif de l'engin engagé qui peut être un véhicule de secours et d'assistance aux victimes, un engin pompe ou tout autre véhicule d'intervention.

Lors d'une opération en milieu maritime, l'équipe est constituée :
- 1 chef de bord (SAV3),
- 2 sauveteurs côtiers (SAV2),
- 1 chargé de liaison (Modérato).


Les missions

Les différentes missions que les sauveteurs aquatiques sont susceptibles d'effectuer sont :
-    Le prompt secours,
-    La mise en sécurité,
-    La recherche,
-    La protection de biens,
-    La protection de l'environnement,
-    Le transport d'équipe spécialisée ou de matériels,
-    La surveillance.


Capture decran 2012-09-05 a 16.08.42Missions ne relevant pas du secours

Dans certaines circonstances particulières, des opérations ne présentant pas un caractère de secours pourront éventuellement être traitées par une équipe de sauveteurs aquatiques.

Il s'agit notamment des opérations nécessitant l'intervention d'un personnel spécialisé où la carence du secteur privé est constatée ou que ce dernier soit dans l’impossibilité d’intervenir dans un délai tel que la situation peut présenter un danger pour autrui.

Elles ne pourront toutefois être engagées qu'avec l'accord du chef de site (COS départemental) de garde. Elles feront l'objet d'une facturation et le requérant devra en être informé au moment de la demande.


Procédures d'engagement

Toute intervention opérationnelle en milieu aquatique fait l'objet d'une validation de faisabilité par le chef de bord et/ou le commandant des opérations de secours


Interventions en eaux intérieures

  • Prompt secours par l'équipe sauveteurs aquatiques de proximité,
  • Engagement d'un bateau de sauvetage selon le lieu de l'intervention (navigabilité),
  • Engagement équipe de renfort (SAV ou SAL) selon la nature de l'intervention ou de son évolution possible.


Interventions sur le domaine maritime

Les interventions en mer nécessitent une collaboration étroite et un échange permanent d'informations entre les différents centres opérationnels (CTA/CODIS - CROSS - CRRA).

Toute réception d'appel de détresse en mer fait l'objet d'une information au CROSS par conférence à trois « Témoin, CTA/CODIS et CROSS ».


L'engagement de plusieurs BLS peut être fait :

  • Par le CTA dès le déclenchement de l'alerte (nature de l'intervention ou appréciation de l'état de la mer),
  • Par le chef de bord dès la réception de l'alerte ou lors de l’engagement du BLS,
  • Sur demande du COS.


Le chef de bord du BLS a autorité pour refuser l'intervention s'il le juge nécessaire vis-à-vis des conditions météorologiques. Dans ce cas, le CROSS compétent et le CODIS doivent en être immédiatement informés par le chargé de liaison.

Les Sauveteur Héliporté

DISPOSITIF DEPARTEMENTAL

Le service départemental est doté depuis l’arrivée de l’EC 145 d’une équipe de sauveteur héliporté dénommé : SH.

SH 1

Cette unité est placée sous l’autorité d’un conseiller technique départemental rattaché au bureau des unités spécialisées du SDIS 29.

Cette spécialité est en plein développement dans plusieurs départements français et l’appellation USSH ou « Unité de sauveteur spécialisé héliporté » vient d’être créée.

En effet le Groupement hélicoptère souhaite que l’ensemble des bases de France travaille avec un pôle restreint de partenaires, bien formés et aguerris à toutes méthodes de treuillages

Les bases ont dorénavant  obligation de délivrer un certificat de formation opérationnel à tout sauveteur héliporté pour que celui-ci puisse intervenir comme partenaire.

Le SDIS 29 anticipait déjà sur les qualifications de ces sauveteurs héliportés en élaborant une liste opérationnelle.


L’unité SH au sein du SDIS29  comporte un emploi opérationnel, des emplois de formation et de management réparti comme suit :

Emploi opérationnel

- Sauveteurs héliportés

  • sapeur-pompier, spécialité plongeur, formé aux techniques de l’hélitreuillage
  • troisième « membre d’équipage »

Emploi de formation


- Chef d’unité : titulaire des unités de valeur SAV3, PLG2 et FOR1

  • il participe aux séquences de formation initiales et continues

- Conseiller technique départemental : titulaire des unités de valeur SAV3, PLG3 et FOR2

  • il encadre comme responsable pédagogique les formations initiales et continues
  • il est le référent auprès du SDIS 29

Emploi de management


- Chef d’unité

  • la gestion des personnels spécialisés
  • l’organisation des entraînements
  • le contrôle et l’inventaire des matériels

- Conseiller technique départemental

  • il est chargé d’animer et de coordonner l’activité SH
  • il gère la répartition du matériel et fait les prévisions budgétaires
  • il donne son avis sur les nominations dans les différentes fonctions
  • il participe aux réunions afférentes à la spécialité
  • il fait des propositions sur l’évolution de la spécialité dans le département

Conformément au SDACR et aux risques courant des 1200 kms de cote longeant le Finistère, l’unité SH permet de projeter dans les plus bref délais un sauveteur plongeur formé aux techniques d’hélitreuillage.

EFFECTIF SPECIALISE

   
 
ACTIVITES DE LA SPECIALITESH 2


Exercices / entraînements

Les sauveteurs héliportés ont réalisé 92 entraînements en 2010.

Environ un tiers de ces entrainements ont été réalisés au seul profit des SH avec pour objectif leur maintien de compétences et leur validation de module leur permettant de figurer sur la liste opérationnelle.

Les  autres entraînements sont liés à la présence  dorénavant obligatoire du SH avec Dragon 29 en qualité d’interface sécurité dans les phases d’accrochage-desaccrochage des hélitreuillages sur toutes les formations initiales, FMA , entraînements au profit des spécialistes du SDIS 29 mais aussi des autres partenaires tel que le SAMU, Phare et Balise, démineur sécurité civile et SNSM.

Ces entraînements permettent également aux SH de maintenir leurs compétences et de conserver leurs automatismes.

Au cours de ces entraînements, 635 treuillages de jour et 75 treuillages de nuit ont été exécutés.


Interventions

Les sauveteurs héliportés ont effectué 199 missions en partenariat avec Dragon 29.
97 de ces missions ont été accomplies durant les mois de juin-juillet-aout.

Sur l’ensemble de ces interventions, les SH ont participé à 119 treuillages de jour et 7 treuillages de nuit.

Notre positionnement à la base cet été 2011 nous a permis comme les années précédentes de gagner de précieuses minutes sur nos délais d’intervention et  d’extraire des victimes en état de péril imminent.

Les Scaphandriers Autonomes Légers

Le Service Départemental de Lutte contre l’Incendie et de Secours du Finistère est doté d’un groupe départemental de Scaphandriers Autonomes Légers dénommé : SAL 29.

Le groupe SAL 29 intervient toujours en appui du CIS localement compétant qui est engagé en même temps avec des moyens adaptés à la nature de l’intervention et du site.

Une première équipe de scaphandriers autonomes chargée de faire les premières reconnaissances et de prendre les mesures de sauvetage et d’assistance, doit se trouver sur site dans un délai d’une heure à partir de son engagement par le CTA.

L’équipe de renfort de plongeurs doit rejoindre le lieu de l’intervention dans un délai de 1 h 30.

Afin d’atteindre cet objectif, le groupe SAL 29 est organisé autour de 2 unités opérationnelles :

  • Unité Nord basée au CSP Brest,
  • Unité Sud basée au CSP Quimper.

Emplois opérationnels

Capture decran 2012-09-05 a 16.00.15Le Scaphandrier Autonome Léger

Il intervient en milieu subaquatique ou hyperbare à une profondeur inférieure ou égale à 20, 40 ou 60 m selon qualification et habilitation. Il est sous l’autorité d’un chef d’unité ou d’un conseiller technique SAL.
Ses activités complémentaires sont le sauvetage aquatique et la conduite d’embarcation.


Le chef d’unité SAL

Il dirige sur le plan technique et en l’absence de conseiller technique, une intervention courante en milieu subaquatique ou hyperbare.
Il est conseiller auprès du COS.


Le conseiller technique

Il dirige sur le plan technique une intervention d’envergure en milieu subaquatique ou hyperbare,
Il est conseiller auprès du COS.


Les différentes missions que les scaphandriers sont susceptibles d’assurer sont :

  • Reconnaissance,
  • Sauvetage et assistance,
  • Travaux subaquatiques d’urgence,
  • Traitement des pollutions et protection de l’environnement,
  • Prompts secours en milieu hyperbare,
  • Sécurité des interventions en site aquatique,
  • Recherches diverses.

Les missions sont toujours caractérisées par l’urgence dans le cadre de la sauvegarde des personnes et des biens ou de la protection de l’environnement.

Les scaphandriers peuvent être requis par l’autorité judiciaire ou administrative, sous réserve de leur qualification et habilitation, dans la limite de l’organisation du service.

Capture decran 2012-09-05 a 16.00.06

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