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Minimiser les surfaces imperméabilisées, récolter l’eau de pluie pour l’utiliser ou la restituer au milieu naturel par infiltration : de plus en plus, les eaux de pluie doivent être gérées à la parcelle d’un centre de secours ou, au minimum, régulées pour limiter le débit d’eau à rejeter dans le réseau public.

La gestion des eaux de pluie à la parcelle vise à compenser l’imperméabilisation des sols inhérente à nos constructions et à l’aménagement de leurs abords. Elle a pour objectif d’atténuer le ruissellement et d’alléger la charge des réseaux publics d’évacuation des eaux de pluie qui ne sont plus en capacité de prendre des eaux de pluie complémentaires.

Le SDIS n’a donc plus la possibilité de rejeter ces eaux dans les réseaux publics, d’autant qu’il arrive parfois que la parcelle du centre de secours ne soit tout simplement pas reliée à un réseau d’évacuation des eaux de pluie.

Autre intérêt de la gestion des eaux pluviales à la parcelle : elle contribue à prévenir les inondations et la pollution des eaux de surface ainsi qu’à alimenter la nappe phréatique.

Ainsi, dans sa mise en œuvre, la gestion des eaux pluviales à la parcelle nécessite des surfaces d’espaces verts suffisantes pour pouvoir créer des noues, fossés ou bassins permettant de stocker et réguler le rejet ou l’infiltration des eaux de pluie.

La gestion des eaux pluviales à la parcelle – imposée au stade du permis de construire – est prise en compte au sein de tous nos nouveaux projets de construction depuis 2014.

Le nombre et la capacité des noues ou bassins sont déterminés par une étude hydraulique qui définit notamment les qualités d’infiltrométrie du sol.

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